herzlichen Dank, lieber lilaloufan, für die prompte Antwort, aber leider war es nicht dieser verger, sondern der Dritte.
Jamais la terre n'est plus réelle
que dans tes branches, ô verger blond,
ni plus flottante que dans la dentelle
que font les ombres sur le gazon.
Là se rencontre ce qui nous reste,
ce qui pèse et ce qui nourrit,
avec le passage manifeste
de la tendresse infinie.
Mais à ton centre la calme fontaine,
presque dormant en son ancien rond,
de ce contraste parle à peine,
tant en elle il se confond.
Den meinte ich!
Gruß
gliwi